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Métisse aimant la vie et les manipulateurs s'abtenir.

mercredi 8 juin 2011

Vitamine D



La vitamine D est insuffisante  l’hiver par le manque de lumière et de soleil.  Cette vitamine est absorbée par la peau et prévient  la maladie des os et du système des muscles squelettiques. Quand il y a manque, il faut le prendre sous forme de comprimé.  La carence en vitamine D est courante chez les adultes et les enfants du Canada. Les femmes autochtones semblent présenter une plus grande prévalence de carence en vitamine D que leurs homologues non autochtones, malgré un apport diététique en vitamine D.

Un de ses principaux rôles biologiques est de maintenir des niveaux sanguins normaux de calcium et de phosphore.  En favorisant l’absorption du calcium,  la vitamine D aide à former et entretenir des os solides.

Les âges le plus à risque par manque de vitamine D : ce sont les nouveau-nés, les nourrissons, les femmes enceintes et les personnes âgées.

Certains aliments, comme le saumon, le thon, le foie et les rognons sont de bonnes sources en vitamine D. Le soleil : est la vitamine D la plus naturelle.

BIENFAITS DE LA VITAMINE D : 

·         Aide à optimiser le métabolisme du calcium et du phosphore
·         Aide à prévenir  le diabète de type 2, la résistance à l’insuline, l’hypertension, les crises cardiaques, les  embolies    cérébrales et les insuffisances cardiaques
·         Aide à prévenir les chutes et la faiblesse musculaire
·         Aide à prévenir l’ostéoporose
·         Aide à réguler les réponses du système immunitaire et  de la tension artérielle
·         Diminue le risque d’inflammation excessive
·         Diminue le risque de certaines infections bactériennes
·         Soutient la fonction cognitive et la stabilité de l’humeur
·         Aide à prévenir la fatigue chronique et divers types de cancer : vessie, sein, côlon, ovaire, prostate et rectal. 

    dimanche 5 juin 2011

    VIVRE DANS LA JOIE

    §  La joie est la musique intérieure que vous chantez au fil de la journée.
    §  La vraie joie naît lorsque vous agissez en accord avec vos directives intérieures et que vous reconnaissez qui vous êtes.
    §  Sur le chemin de la joie, créer sa liberté est un défi.
    §  Le chemin de la joie implique que vous vous estimiez et vous contrôliez les choix de votre emploi du temps.
    §  Aimé est le signe de votre être supérieur de ce que vous devez faire.
    §  Vous connaîtrez la joie si vous vous centrez pour l’avoir, elle et seulement elle.
    §  Chaque personne a un but et une raison d’être sur Terre.

    Tiré du livre : Choisir la Joie de Sayana Roman

    La maladie du bonheur

    La maladie du bonheur

    Voici les symptômes de cette maladie:
    1. Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que d'agir sous la pression des peurs, idées reçues et conditionnements du passé.
    2. Manque total d'intérêt pour juger les autres, se juger soi-même et d'intéresser à tout ce qui engendre des conflits.
    3. Perte complète de la capacité à se faire du souci (ceci représente l'un des symptômes les plus graves).
    4. Plaisir constant à apprécier les choses et les êtres tels qu'ils sont, ce qui entraîne la disparition de l'habitude de vouloir changer les autres.
    5. Désir intense de se transformer soi-même pour gérer positivement ses pensées, ses émotions, son corps physique, sa vie matérielle et son environnement afin de développer sans cesse ses potentiels de santé, de créativité et d'amour.
    6. Attaques répétées de sourire, ce sourire qui dit "merci" et donne un sentiment d'unité et d'harmonie avec tout ce qui vit.
    7. Ouverture sans cesse croissante à l'esprit d'enfance, à la simplicité, au rire et à la gaieté.
    8. Moments de plus en plus fréquents de communication consciente avec son âme, ce qui donne une sentiment très agréable de plénitude et de bonheur.
    9. Plaisir de se comporter en guérisseur qui apporte joie et lumière plutôt qu'en critique ou en indifférent.
    10. Capacité à vivre seul, en couple, en famille et en société dans la fluidité et l'égalité, sans jouer ni les victimes ni les bourreaux.
    11. Sentiment de se sentir responsable et heureux d'offrir au monde ses rêves d'un futur abondant, harmonieux et pacifique.
    12. Acceptation totale de sa présence sur terre et volonté de choisir à chaque instant le beau, le bon, le léger, le vrai et le vivant. Si vous voulez continuer à vivre dans la peur, la dépendance, les conflits, la maladie et le conformisme, évitez tout contact avec symptômes, sachez que votre état est probablement irréversible.
    Les traitements médicaux peuvent faire disparaître momentanément quelques symptômes mais ne peuvent s'opposer à la progression inéluctable du mal. Aucun vaccin anti-bonheur n'existe. Comme cette maladie du bonheur provoque une perte de la peur de mourir, qui est l'un des piliers centraux des croyances de la société matérialiste moderne, des troubles sociaux graves risquent de se produire, tels des grèves de l'esprit belliqueux et du besoin d'avoir raison, des rassemblements de gens heureux pour chanter, danser et célébrer la vie, des cercles de partage et de guérison, des crises de fou rire et des séances de défoulement émotionnel collectives!

    Texte extrait de "Vivre sa colère sans violence" de Johanne RAZANAMAHAY et de Christian Tal SCHALLER,  paru aux éditions Marco Pietteur.

    Anorexie et boulimie

    L’anorexie et la boulimie sont des maladies extrêmement grave, nécessitant une prise en charge rapide par le médecin avant qu’elles s’aggravent ( car ces deux maladies peuvent aboutir à la mort des malades ). Même après un traitement, dans le cas de l’anorexie, les rechutes sont fréquentes et les malades restent psychologiquement très fragiles. Certains malades gardent des séquelles qui rendent la vie sociale, conjugale et familiale difficiles. Enfin, près d’un quart des cas se terminent de façon dramatique: soit par un décès, soit par un suicide. Plus tôt le traitement psychiatrique est entrepris, plus les chances de guérison sont grandes.
    Dans le cas de la boulimie, elle peut parfois masquer une véritable dépression nerveuse. C’est pourquoi il faut le plus souvent des cas une prise en charge du médecin. Ces deux maladies peuvent parfois entraîner les malades à abuser de l’alcool, des médicaments, de la drogue, des conduites suicidaires...Alors ne négligeons pas la boulimie et l’anorexie mentale et traitons les avec sérieux, et comme étant peut-être les maladies alimentaires les plus graves.

    Anorexie mentale

    C'est une perte ou diminution de l'appétit. C'est aussi une peur de grossir et d'être gros
    • Refus alimentaire ou manque d'appétit
    • Amaigrissement
    • Hyperactif et résistance à la fatigue
    • Absence de règles chez les filles
    • Refuse de reconnaître leur maigreur
    • On souvent des conflits avec l'entourage
    • Mente pour ne pas manger en famille.
    Boulimie :

    Trouble de comportement alimentaire.
    • Le malade mange tout et n'importe quoi
    • Se lance sur les aliments les plus calorifiques
    • Se purge en se faisant vomir
    • Mange sans le regard des autres et seul
    • Mange vite sans déguster et sans mastiquer

    Alimentation des Amérindiens

    Certains aliments que nous consommons étaient utilisés par les Amérindiens avant la colonisation. Vous constaterez la  diversité.
    La sagamité, une soupe dont les éléments principaux sont appelés les Trois Sœurs (maïs, courge et fève rouge). Leurs nourritures étaient aussi composées de gibier, poisson et de fruits de mer.
    Il y a la truite, saumon, crabe, grosse palourde et l’omble de l’Arctique. Certaines truites sont en fait des ombles, c’est le cas du touladi (truite grise) et de l’omble de fontaine (truite mouchetée). Le doré un poisson de rivière et compte deux sous-espèces : le doré jaune et le doré bleu. Les filets de ces poissons son appréciés et grillés sur feu de bois ou fumés.
    Le riz sauvage était appelé « man-o-min » par les Ojigways. Il vient des mots « Manitou » (Le grand Esprit) et « meenun » (mets délicat). Le riz était récolté à l’état sauvage dans les eaux de l’Ontario, du sud ouest du Manitoba et Minnesota. La récolte s’effectuait à bord de canot et on raclait les tiges avec des bâtons afin que les grains tombent dans le canot. Le riz était alors séché sur la rive puis chauffé jusqu’à ce que les grains deviennent bruns. On lançait ensuite les grains en l’air pour que le vent en emporte l’enveloppe.
    Le gibier : le troupeau de bisons se déplaçait au rythme des Autochtones. Cette viande au goût si particulier était appréciée lorsqu’elle était cuisinée à la broche. Le bison n’était pas chassé que pour sa viande. Il était aussi utilisé à différentes fins comme la confection de vêtements, la fabrication de récipients et d’outils. Malheureusement il y a très peu de bisons et sont remplacés par les caribous des prairies.
    La bannock, bannik ou bannique, pain traditionnel des amérindiens.
    Les commerçants de fourrure ont apporté ce pain en forme de galette. Ensuite a été adapté au monde de cuisson des Autochtones. Il peut être nature, avec des raisons secs, du chocolat ou du bacon. Chaque famille amérindienne à sa propre recette.
    Les crosses de fougères (ou têtes de violon)
    Elles doivent leur nom à leur ressemblance avec la crosse d’un évêque. Ce sont des fougères que l’on ramasse encore jeunes, c'est-à-dire avant qu’elles ne s’ouvrent. Les crosses de fougère étaient utilisées comme légumes.
    Pour en finir avec une note sucrée, le sirop d’érable. Ce met très apprécié de nos jours a été recueilli par les autochtones bien avant l’arrivé des cabanes à sucre. Les autochtones recueillaient la sève pour en faire un sirop que nous connaissons aujourd’hui. Il leurs servait à sucrer les aliments et constituait un savoureux dessert après un ragoût d’orignal.